Puccini "So interpretare anche donne moderne"
di Paolo Scotti
Roma - Una soddisfazione che vale tre. Per l’ascolto che ha ottenuto; per averlo ottenuto all’ultimo momento; per esserci riuscita con un personaggio diverso. Vittoria Puccini ha tre motivi, per brindare al successo di Tutta la verità: la fiction di Raiuno che ha vinto le serate tv di domenica e lunedì, raggiungendo il 27 per cento di share e battendo Intelligence con Raoul Bova su Canale 5. «Una vittoria entusiasmante e inaspettata», gioisce la bionda attrice.
E invece il pubblico non ha avuto dubbi, su chi premiare. Come mai?
«L’ho capito quando, andando ospite alla Vita in diretta, ho sentito i tecnici, le maestranze, gli altri ospiti, discutere della nostra fiction. E lo stesso mi era capitato per strada, dove tutti mi fermavano per chiedermi: “Chi è l’assassino? Giulia tornerà in famiglia?”. Insomma: abbinando un tema sentimentale, come il tradimento e la riappacificazione all’interno della coppia, ad un genere ormai raro, come il noir, molti hanno trovato qualcosa di sé, nella storia di questa donna felicemente sposata, che all’improvviso perde la testa per un altro...».
Un contributo l’avrà dato anche l’immagine di un’attrice che il pubblico ricordava come la romantica «Elisa di Rivombrosa»?
«Penso di sì. Il che dimostra che, anche se la gente mi ricorderà sempre come Elisa (e io rimarrò sempre legata a quel personaggio), sa amarti anche in un ruolo diverso. Il massimo, per un attore. Qualche problema, semmai, ad interpretare un personaggio con una carica sensuale e un dramma interiore così forti, l’ho avuto io. Temevo di non essere all’altezza. Ma ero rimasta inattiva per quasi due anni, proprio perché aspettavo un ruolo finalmente fuori dalle storie in costume».
Insomma: non è il pubblico a pretendere sempre le stesse cose, ma i produttori a non voler rischiare?
«Spesso è così. È ovvio che i telespettatori si affezionino ai personaggi riusciti. Ma non si può riproporglieli all’infinito. Dopo Elisa ci fu l’esplosione delle storie in costume. E la gente, giustamente, non ne poteva più. Ma se si ha il coraggio di cambiare, oltre al talento per farlo, il pubblico ti premia».
E poi c’era l’incognita della programmazione improvvisa. Come vi sentite voi attori quando, dopo aver lavorato per mesi ad un prodotto, ve lo vedete mandato in onda per salvare il salvabile?
«Una volta mi arrabbiavo. Ora ho capito che è tempo perso. Non siamo noi interpreti, né il produttore, né il regista, a decidere la messa in onda. Stavolta, nonostante la fretta, Raiuno e Del Noce credevano nel prodotto e lo hanno supportato con la promozione necessaria».
Ora che ha dimostrato di saper interpretare donne dell’oggi, qual è il suo sogno?
«Vorrei provarmi nella commedia brillante. Ho appena finito di girare il film di Gabriele Muccino Baciami ancora, il seguito de L’ultimo bacio in cui interpreto il ruolo che fu di Giovanna Mezzogiorno. Ma questa è stata una commedia dai toni amari. E poi sarò nella fiction della Rai su Basaglia, La città dei matti, dove sarò una malata mentale. Insomma: la voglia di ridere, e di far ridere, ora mi viene spontanea».
mercoledì 14 ottobre 2009 Giovanna Mezzogiorno.
Traduction
Puccini « Je sais interpréter même des femmes modernes »
de Paolo Brûles
Rome - une satisfaction qui vaut trois. Pour j'écoute qu'il a obtenu ; pour l'avoir obtenu à j'achève instant ; pour y réussir avec un personnage divergé. Victoire Puccini a trois raisons, pour trinquer à la passé de Toute vérité : le fiction de Raiuno qui a vaincu les soirées tv de dimanche et de lundi, en rejoignant le 27 pour cents de share et en battant Intelligence avec Raoul Bova sur Canal 5. « Une victoire entusiasmante et inattendue », gioisce la blonde actrice.
Et par contre le public n'a pas eu de doutes, sur qui récompenser. Comment jamais ?
« Je l'ai arrive lorsque, en allant hôte à la Vie en dirigée, j'ai senti les techniquex, le maestranze, les autres hôtes, discuter de notre fiction. Et le même m'avait arrivé pour route, où tous m'arrêtaient pour me demander : « Qui est assassine-je ? Julie tournera en famille ? ». En somme : en jumelant il craint sentimentale, comme le tradimento et les riappacificazione à l'intérieur du couple, à un genre maintenant rare, comme le noir, beaucoup ont trouvé quelque chose de lui, dans l'histoire de cette femme heureusement mariée, que tout à coup il perd teste pour un autre… ».
Une contribution l'aura-t-il donné même l'image d'une actrice qui le public se rappellait comme la romantica « Elisa de Rivombrosa » ?
« Je pense de oui. Qu'il montre que, même si les gens me rappelleront toujours comme Elisa (et je resterai toujours lié à ce personnage), sais t'aimer même dans un rôle divergé. Le maximum, pour un attore. Quelque problème, si jamais, à interpréter un personnage avec une charge sensuale et un drame intérieur ainsi forts, je l'ai eu. Je craignais de ne pas être à la hauteur. Mais je étais restée inactive pour presque deux ans, vraiment parce que j'attendais un rôle finalement hors des histoires en coutume ».
En somme : n'est-il pas le public à prétendre toujours les mêmes choses, mais les producteurs à ne pas vouloir risquer ?
« Souvent il est ainsi. Il est evident que les téléspectateurs s'affectionnent les personnages réussis. Mais on ne peut pas de riproporglieli à l'infini. Après Elisa il y eut l'explosion des histoires en coutume. Et les gens, justement, pas en pouvaient plus. Mais s'il a le courage de se changer, outre le talent pour le faire, le public te récompense ».
Et ensuite il y avait l'inconnue de la programmation soudaine. Comment vous sentez acteurs quand, après avoir travaillé pour des mois à produit, vous vous le voyez envoyé en vague pour sauver la salvabile ?
« Une fois je me fâchais. Maintenant j'ai arrive qu'il est temps perdu. Il n'est pas nous interprètes, né le producteur, né le réalisateur, à décider la messe en vague. Stavolta, malgré la fretta, Raiuno et de la Noix croyaient dans produit et ils l'ont supporté avec la promotion nécessaire ».
Maintenant qu'il a montré de savoir interpréter des femmes de l'aujourd'hui, quel est le sien je rêve ?
« Je voudrais m'éprouver dans la commedia brillante. J'ai à peine fini de tourner le film de Gabriele Muccino Baciami encore, suivi de achève baise dans lequel j'interprète le rôle di Giovanna Mezzogiorno.Mais celle-ci a été une commedie des tons amers. Et ensuite je serai dans le fiction de la RAI sur Basaglia, la ville des matti, où je serai une malade mentale. En somme : l'envie de rire, et de faire rire, maintenant me vient spontanée ».
mercredì 14 ottobre 2009
j'adorerai le voir ,en français bien sur
merci pour l'info,Daniéla,tu es un ange