Elisa, une seconde chance

Génial Cassidie, j'adore, merci beaucoup... vivement la suite

oui moi aussi .Mais ce capitaine,il me porte sur les nerfs celui là

Extra Elodie, j'adore! C'est vrai que ce capitaine......

J'ai honte, je n'ai même pas encore trouver le temps de lire cette merveilleuse histoire, mais à charge de revanche.

c'est rien Marion je ne t'en veux pas. Je sais que tu es débordée. Mais si tu ne la lis pas un jour, grrr, je ne te parlerai plus mdr. Je plaisante bien sûr, ça ne fais rien si tu ne la lis pas, je t'adore quand même.

Mais moi aussi je t'adore, c'est bien pour ça que je veux tout lire de ce que tu fais, mais j'avoue que je me presse moins dessus que sur l'autre histoire, mais je t'assure que je l'a lierais, d'autant plus que je suis assurée de prendre du bon temps.
Bisous poulette

Elisa return servante???? Ahhh que souvenirs.. . bien j' espere que elle se marriera' avec Cristian... et que sortira' avec lui comme nuveau Principesse.

Que ONTE pobre Fabrice depuis Alvise, Armand Benac, outres Etrangers dans son maison.. la Maison Ristori il est mieux que il est mort... se retournra' dans sa tombe.. lui et sa pobre mer la Comptesse AGnese.

Il est inutile de dire que j' attende L' OUTRE SUITE... MA JE PENSE QUE N' ARRIVERA' JAMAIS A CHETTE POINT...

Désolée pour la si longue coupure. J'espère que vous arriverez quand même à comprendre. Si ce n'est pas le cas, je vous ferez un résumé, mais ce soir, j'ai la flème lol.

Elisa claqua la porte de sa chambre, ce qui fit éteindre la bougie dans l'entrée. Elle détestait de plus en plus ce capitaine. Elle allait défaire son corset lorsque quelqu'un par derrière posa sa main sur sa bouche l'empêchant ainsi de hurler. Elle gesticulait tellement que cette personne la lâcha immédiatement. Elisa en profita pour attraper le coupe-papier sur son secrétaire et menaça cet homme emmitouflé dans une grande cape sombre.

-Chut, Elisa, c'est moi!, dit un homme en murmurant.

-Christian!, murmura stupéfaite Elisa.

Il enleva sa cape et elle soupira de soulagement.

-Oh mon Dieu! Mais comment es-tu rentré ici sans que les soldats te voient?, dit-elle en se décontractant.

-Je suis passé par derrière. Bianca m'a vu et m'a aidé à passer par la fenêtre. C'est elle qui m'a donné cette cape pour qu'on ne voit pas mon uniforme.

Elle alla immédiatement dans ses bras et le serra fort contre elle, de peur de rêver. Il la tenait fermement contre lui et respirait son odeur en fermant les yeux.

-Elisa, que se passe-t-il ici?, demanda-t-il en éteignant la bougie près du lit, afin qu'ils restent dans le noir pour que personne ne le voit de la fenêtre.

-Les troupes françaises ont réquisitionner Rivombrosa, et je n'ai pas eu mon mot à dire.

-Mais la Marquise Anna? Antoine? Où sont-ils?, demanda Christian en fronçant les sourcils.

-Ils sont à Turin avec Agnes. Ils vont bien.

-Pourquoi ne les as-tu pas suivi?, demanda Christian en prenant les mains d'Elisa

-Parce que Rivombrosa est ma maison et que je refuse de la leur céder, dit-elle fièrement.

-Elisa, je ne veux pas qu'il t'arrive quelque chose. Je n'ai pas l'esprit tranquille au front.

-Tu as eu une permission?, demanda Elisa préférant changer de sujet.

-Non, pas exactement. J'ai déserté. Il le fallait, je voulais voir où en étaient les choses ici à Rivombrosa. Mais je suis gradé, je trouverais une excuse!, dit-il en souriant.

Elisa sourit à son tour.

-Je n'arrive pas à croire que tu sois là. Quand dois-tu repartir?

-Quand tu te réveilleras demain matin, je serai déjà parti!, dit-il en lui caressant la joue, Elisa ferma les yeux et savoura ce court instant.

Christian venait à peine de mettre sa veste qu'Elisa ouvrit les yeux.

-Chut, rendors-toi!, dit-il à demi-mot en lui caressant les cheveux.

-Je croyais que j'étais en train de rêver!, dit-elle en se redressant.

-Je dois partir avant que le jour se lève!, dit-il en l'embrassant passionnément.

Elle se releva la tête et cherchait ses lèvres, l'attrapant par les épaules. Il posa ses mains de chaque côté de sa tête et continua à l'embrasser, sachant qu'il se mettait à chaque seconde davantage en danger. Mais à cet instant, il s'en fichait.

-Mon amour, je dois partir, mais je reviendrais, je te le promets!, dit-il en reculant sachant que quelques minutes de plus, il ne partirait plus.

Il ouvrit la fenêtre et passa rapidement tel un chat sur le toit avant de disparaître de la vue d'Elisa qui se rallongea dans le lit en sentant l'odeur de Christian imprégnait sur l'oreiller.

Les semaines passèrent, Elisa ne reçut qu'une lettre de Christian une semaine après sa venue. Cela commençait sérieusement à l'inquiéter. Martin quant à lui continuait à écrire à Elisa toutes les deux semaines. C'était sa manière à lui de la rassurer.

Le Capitaine Bellion devenait de plus en plus exigeant envers Elisa, de jour comme de nuit. Mais jamais elle ne lui montrait signe de faiblesse. Bien au contraire, elle le défiait à chaque fois, le regardant droit dans les yeux, lui faisant sentir toute la haine qu'elle éprouvait pour lui.

Ursuline revint du village avec quelques nouvelles du front. Dans la cuisine, les domestiques l'écoutaient attentivement.

-Cela va mal pour le Piémont. L'Armée Française est beaucoup plus nombreuses de jour en jour. Et ils ont mi un barrage pour que l'on ne puisse pas se rendre à Turin. Ce n'est pas demain la veille que nous pourrons nous débarrasser de ce Capitaine de malheur.

-Ursuline, je t'en prie. S'il t'entendait parler de la sorte!, intervint la pauvre Amélie, fatiguée et triste de voir Rivombrosa dans un tel état de délabrement.

Elisa s'endormait sur la table. Bianca la poussa du coude lorsque le capitaine entra dans la pièce. Elisa se réveilla en sursaut et se releva les cheveux en bataille.

-Elisa, je t'attend depuis un moment, je souhaite que mes draps soient changés.

-Oui, Capitaine!, dit-elle en passant près de lui.

Il la rattrapa par le bras fermement.

-Tu pourrais avoir tout ce que tu veux, si tu voulais dénier accepter ma requête de l'autre jour!, dit-il à son oreille.

-Jamais, vous entendez. Je préfère être votre domestique et changer vos draps plutôt que de dormir dedans!, dit-elle en enlevant son bras violemment de l'étreinte du Capitaine.

Lorsqu'Elisa se déshabilla, elle regarda son bras meurtri dans le miroir. Il portait les traces des doigts de Bellion. Elle se frictionna pour calmer la douleur. Puis s'allongeant sur son lit, elle relit la dernière lettre de Christian.

« Mon amour, la guerre fait rage. Mais nous gagnons du terrain. Si nous arrivons à affaiblir l'armée française, peut-être que vous pourrez la vaincre. Et retrouver la paix dans le Piémont. Je sais que c'est loin d'être gagné, mais je garde espoir. J'espère que la guerre sera finie avant cet été.


Tu me manques énormément. Cette nuit auprès de toi a été merveilleuse, bien que très courte, et je prie pour qu'il y en ai encore beaucoup d'autre. Je m'inquiète beaucoup pour toi. Je sais que la vie à Rivombrosa est loin d'être aussi agréable qu'avant. Mais souviens-toi de ce que je t'avais dit. Si tu te sens menacer, alors fuis, mon amour, et quoi qu'il arrive, je te retrouverais.

P.S: J'ai croisé Martin aujourd'hui, il était dans le camp opposé au mien. Nous nous sommes salués rapidement de la tête. Mais ne t'en fais pas, il va bien.

Je t'embrasse bien fort, je t'aime, Christian. »

Elisa serra contre son coeur cette lettre qui datait d'un mois maintenant. Qu'était-il arrivé à Christian? Pourquoi est-ce qu'il ne répondait à aucune de ses lettres. Peut-être avait-il été blessé et conduis dans un hôpital militaire, ou peut-être affecté ailleurs, ou alors tout simplement fait prisonnier. Beaucoup de questions sans réponse empêchèrent Elisa de dormir cette nuit-là.

olalala!!vivement la suite merci Elodie,c'est magnifique!!

Mon Elo, comme dab c'et extra! vivement la suite!Merci, bisous!

Cristian sait de ne etre le grand amour de Elisa???

Je suis désolée Queen, mais je n'ai pas compris ce que tu as écrit.

cassidie34 a écrit:

Je suis désolée Queen, mais je n'ai pas compris ce que tu as écrit.

mielleur

MAGNIFIQUE ELODIE vivement la suite merci A+

Elodie, c'est très bien écrit , en fermant les yeux je vois la scène