N°41 - 13 oct 09
Toute la verité sur mon amour pour Alessandro L’actrice, en tv dans la fiction de Cinzia TH Torrini “Toute la verité, défend son compagnon Alessandro Preziosi après les photos dans lesquelles il est apparu avec une modèle: «Nous savons que notre vie est autrechose de cela qu’on fait paraitre. Nous en avons parlé entre nous et decidé que nous devons ingnorer ces chose ». Et elle parle de son engagement pour les enfants de l’Ecuador.Sur le trottoir de la Place Argentina à Rome, ella arrive trottinant, une plante de petites roses à la main. Comment resister à la petite, délicieuse Elana qui nous offres les fleurs? Aux ses épaules maman sourit empressée et amuséee, Vittoria Puccini qui est au kiosque de l’Ucodep à soutenir le projet “ Santé Eau Instruction Pour Tous”.
Vittoria semble sereine, en face des cancans sur la durée de son lien avec Alessandro Preziosi, après la publication des photos de lui avec une modèle. «Sur moi ces photos n’ont aucun effet – elle dit – je n’attache leur aucune importance». «Ils peuvent “CONSTRUIRE” ce qu’ils veulent » elle dit à l’égard de cette presse que, pour elle, «n’a pas aucun respect pour aucun. D’autres choses me passionnent, le cancans point du tout». Parmi cela, il y a son engagement dans l’Ucodep, association qui travaille pendant 30 ans pour des projets et actions umanitaires dans plusieurs Pays du Sud du monde. «C’est une bonne cause. Maintenant que j’ai une enfant, je sent encore plus de responsabilité pour ces enfant moins fortunés qu’elle». En meme temps, Elena goute un “muffin” au chocolat et, quand elle te regarde dans les yeux, tu peut voire que son visage est l’exacte copie de cet de son père Alessandro.
D. Nous ne pouvons pas eviter de parler des “rumors” à propos de votre couple, dès que Alessandro a eté photografié couvert d’une toile de bain, sur le balcon d’un hotel qui semble le meme de la photo d’une modéle...
«J’ai appris à n’attacher aucune importance à cela que les journaux font paraitre. Désormais c’est ainsi.
Jadis je m’affligeait et je réagissait: “les journeaux ne peuvent pas CONSTRUIRE des histoires sur la vie des gens”. A présent, je ne dis plus rien. Simplement j’écoute ce qu’on dit et je regarde ce qu’on fait publier seulement comme “spectatrice”. Je ne veut pas que ce bavardage aie d’influence sur moi, car ils ne méritent pas. Pas se mettre au niveau d’eux. C’est pour survivre, pour eviter l’affolement».
D. Avez-vous parlé avec Alessandro?
«Naturellement nous avons parlé et dit qu’ignorer ça c’est la meilleure.
Nous n’avons jamais partagé avec la presse ni joies ni douleurs de notre relation. Lors de la naissance d’Elena, par exemple, ni proclamations ni photos posées ni déclarations: nous avons préservé notre joie pour nous seuls. Aussi les problèmes. Toutes les couples ont des hauts et des bas: nous aussi, comme en avenir peut-etre. Mais
c’est notre vie, nous ne devons pas rendre compte à personne. Nous savons que notre vie c’est autre chose de ça qu’on publie. Ce sont des CONSTRUCTIONS que ne nous apartiennent pas. “Il a trahi à elle” ou “Elle l’a trahi”: c’est loin de notre réalité.
Jamais la presse aura part dans notre réalité».
D. Mais les photos semblent suggérer une réalité inédite...
«J’ai vu des photos faites de manière qu’elle semblaient faire croire quelque chose, mais point du tout le vrai... Je le repete: je n’attache de l’importance à ça».
D. Le 11 et 12 octobre vous serez en tv avec la fiction “Toute la verité” de Cinzia TH Torrini (RAI UNO). Parlez nous de votre role.
«Je représent Paola, un personnage avec lumières et ombres. Pas totalement positif, pas totalement négatif. Une femme qui se perd, dans un moment de sa vie. Elle fait un erreur, elle trompe son mari. Un égaremment qu’elle n’a pas cherché , elle y est tombée... »
D. Croyez-vous que les actions du personnage soient justifiables?
«Dans la vie on peut s’abandonner aux émotions, aux sentiments. Une femme aussi peut s’abandonner à la trahison, que normalement on considére une action très “masculine”. Mon personnage vive ce bouleversement meme si elle a une situation de famille normale. Ça peut arriver à tout le monde. Une envie urgente de s’évader d’une situation apparemment parfaite. C’est dans la nature humaine l’intolerance, le besoin d’experimenter».
D. De qui parle-t-on, maintenant?
«De mon personnage. Ça arrive à Paola: avec son erreur et la souffrance conséquente, elle comprend mieux ce qu’elle veut, et la valeur de cela qu’elle possédait».
D. Ça arriva dans la fiction et dans la vie...
«Exact».
D. Après la naissance d’Elena, vous avez voulu une periode de trève du travail, mais vous etes en train de tout récupérer.
« Oui. Une année et demi de trève: je voudrait jouir de mon enfant et de la vie de mère. J’ai recommencé à travailler au mois de mars, par “Toute la verité”, puis dans le film sur le psychiatre Franco Basaglia, de Marco Turco. J’y joue le role d’une patiente, Margherita: une histoire vraie. Avec moi, Fabrizio Gifuni et Michela Cescon, très habiles tous les deux. Le film parle de l’ouverture des hopitaux psychiatriques, un problème encore irrésolu et que la RAI fait bien à affronter. Une experience forte: j’ai pensé que s’est bon que j’aie une famille a laquelle penser, car j’aurait pu rester melée dans les emotions vecues dans ce film, le plus difficile de ma carrière. Maintenant, je tourne “Baciami ancora” de Gabriele Muccino: pratiquement un tour de force, mais je suis sereine et pleine d’énergie».
D. Après “Elisa di Rivombrosa” vous etes encore avec la Torrini.
«Avec Cinzia nous sommes dans un rapport spécial. Nous avont tant travaillé ensemble: 10 mois dans la première série de “Elisa”, 4 mois pour la deuxième. Nous nous connaissons profondement, entre nous il ya de l’absolute estime et confiance réciproque».
D. Torrini a etée le “gardien” du naissant amour avec Alessandro.
«Oui, c’est vrai. Elle l’aperçu presque avant que nous».
D. Vous n’etes plus la jeune fille de ce temps-là. Qui est-elle aujourdhui Vittoria Puccini?
«La maternité te fait murir de force. Tout à coup, tu ne doit plus penser seulement à toi, il y a quelqu’un plus important, completement dependant à toi. Il faut croitre, il n’y a rien à faire».
D. Vous deplait ça?
«Non, absolument. En plus, un’actrice devient meilleure à travers de plusieurs experiences de vie. Enfin, la naissance d’Elena m’a enlevè beaucoup d’anxieté, d’agitations inutiles, des valeurs ont changé de classification, inévitablement je n’ai plus le temps de me faire des montagnes ».
D. Dans la classification des valeurs y a-t-il le marriage? Quelqu’un le disait certain, le juin passé.
«”Cavolate”! [betises] Nous n’y pensons pas, ça va bien comme ça».
D. Jamais avez-vous pensé de jouer en theatre avec Alessandro?
«Difficilement je fait des projets pour ma carrière. Quand des propositions sont avancées, alors j’y pense et décide»
D. Vous projetèz aumoins d’augmenter la famille?
«A present, non. Peut-etre qu’un fils viendra, mais nous n’avons pas fait des programmes».
D. Donc vous et Alessandro n’etez pas en crise...
«
Six mois on dit que nous sommes en crise, les six mois suivants tout va bien, puis l’histoire se répete. C’est des commèrages, un cycle très précis comme un carnet d’échéance».
D. Nous vous avons rencontrée près d’un kiosque de l’Ucodep. Pourqoi avez-vous decidé de vous engager personnellement?
«Je collabore avec Ucodep il y a quelques ans, pour soutenir les enfants des Andes et de l’Ecuador en particulier. Tout dernièrement je participe à la promotion d’un projet – par l’Oxfarm International aussi – appelé “Santé Eau Instruction Pour Tous” au bénéfice des enfants du Troisième monde et des femmes. Pensez que 1400 femmes meurent en couche tous les jours dans le monde: j’en ai les frissons. Nous voulons recueillir des fonds, et meme des signatures dans le but que les problemes sanitaires et la manque d’eau fussent discutés par le Grands au G8 de L’Aquila. Ils ont promis aide et engagement. En attendant le G8 du Canada, en 2010. »
D. Je croie qu’etre mère soit une poussée pur votre engagement...
«Certainement dès que j’ai Elena, je suis émotivement plus engagée. Je la porte avec moi meme si elle n’entend pas, car je veut qu’elle comprenne ce qui est juste se donner aux bonnes causes».