Alors voila mon premier essaie avec la Figlia di elisa tout en faisant un crossover avec la serie alias! Je tiens à precisier que l'histoire ce deroule à partir du milieu du troisième episode et que suivra ne sera pas comme dans la serie! En tout cas j'espere que vous aprecierais le premier chapitre!!
Quelque part en Italie, en 2008
Une nouvelle fois, elle était envoyée en mission, depuis qu’elle s’était réveillé à Hong Kong ne se souvenant pas des deux dernières années, Sydney se refugiait de plus en plus dans son travail, faisant mission sur mission. Celle-ci ne serait pas différente des autres pensa-t-elle, elle obtiendra ce qu’elle était venu chercher et rentrerai chez elle dans ce nouvel appartement qui ne lui ressemblait en rien. Plus les jours passés, et plus, elle se demandait ce qu’elle faisait encore à la Cia, les mois avaient passé, elle avait enfin su ce qu’il lui était arrivé pendant son absence, mais cela n’avait pas pour autant comblé le vide présent dans son cœur.
Elle regarda de nouveau son ordre de mission, une fois de plus elle ce maudit Rambaldi était à l’ordre du jour. Il était question qu’elle parvienne à dérober un collier qu’il aurait forgé lui-même pour une femme qu’il aurait aimé mais qui d’après de nombreuse rumeur, recélerait des secrets. L’idée même que Rambaldi est pu aimer quelqu’un était impensable pour elles, mais cela n’était pas ses affaires. Le collier se trouvait dans un château situé dans la ville d’Agliè, dans la province de Turin, il semblerait qu’autrefois, le domaine portait le nom de Rivombrosa. Elle fut sortie de l’étude du dossier par l’arriver dans la cabine du steward, lui indiquant qu’ils allaient bientôt atterrir.
Aussitôt qu’elle avait quitté l’aéroport, elle se dirigea vers l’hôtel, où une chambre avait été retenu à sous un nom d’emprunt. Quand elle y arriva, elle se dirigea directement vers la salle de bain et commença immédiatement à se préparer. Le château, où se trouver le collier qui était l’objet de sa mission, était devenu bien des années plus tôt un musée, elle allait donc se faire passer pour l’employer d’un important mécène souhaitant apporter sa contribution à l’entretien de cette propriété. Une heure plus tard, elle ressortit, vêtu d’une robe longue de couleur noir, légèrement fendu sur le coté, laissant entrevoir sa jambe.
Elle fit les dernières vérifications nécessaires, concernant ce dont elle aurait besoin pour arriver jusqu’au collier. Heureusement qu’elle pouvait compter sur Marshall et ses inventions pour la tiré d’affaire, il était vraiment un géni. Aucune équipe de secoure n’avait été prévu en cas de coup dure, elle en avait fait, elle-même la demande, sachant très bien qu’ils auraient envoyé Vaughn et Weiss comme équipier, mais elle leur avait juré qu’il s’agissait juste d’une mission de routine et que tout ce passerait bien. Bien sur elle ne leur avait pas révélé la véritable raison de pourquoi elle voulait être seul pour la mission. Profitant d’être loin de Los Angeles et de tout le monde allait lui permettre de prendre une décision une bonne fois pour tout sur son avenir. Plus rien ne la retenais maintenant là-bas, alors pourquoi ne pas tout arrêter ? Elle chassa rapidement cette question de son esprit quand elle vit la voiture devant la conduire à la soirée arriver, il n’était plus le moment de pensée à ses problème, mais de passer à l’action.
Bien qu’elle ait vu des photographies du palais dans le dossier de la mission, elle ne s’était pas préparer à la beauté et la grandeur que dégageait le château. La voiture la déposa en bas d’un escalier qui après quelques marches se séparait en deux pour conduire à l’étage. Un voiturier vint lui ouvrir la porte et elle sortit gracieusement de la voiture, et monta les escaliers tout en se disant que c’était le plus bel endroit où elle avait été envoyée en mission, et qu’il était dommage qu’elle ne puisse pas en profiter. Elle fut dirigeait dans la salle de réception qui servait à l’époque de salle de bal. Un grand nombre de personne étaient présente pour l’occasion et tous s’extasier devant la beauté des lieux.
Au bout d’une heure plus tard, elle parvint enfin à s’éclipser pour se rendre vers l’endroit où était entreposé le collier. Il fallait ce l’avouer le collier était magnifique, chose étrange de la part de Rambaldi d’avoir fait quelque chose d’aussi beau et ne servant pas à faire le mal. Le collier était entreposé dans une ancienne bibliothèque, d’on la fenêtre donner sur l’un des jardins et des balcons. Elle n’eut évidement aucun mal à rentrer dans la pièce, et repéra aussitôt le collier, elle commença à se dirigeait vers l’objet quand des bruits de pas attirèrent son attention. Elle jeta un regard rapide à la pièce cherchant un endroit où se cacher et ne trouva que le sofa faisant face à la porte. Elle se dirigea donc rapidement derrière celui-ci, mais au moment où elle allait s’accroupir, la porte s’ouvrit révélant ni plus ni moins que Julian Sark. Ils se regardèrent tout les deux surpris de se retrouver de nouveaux face à face l’un de l’autre. Elle avait cru qu’il était peu être mort suite à son échange contre un agent de la Cia détenue par le convenant, apparemment elle s’était trompé.
- « Agent Bristow, je dois dire que c’est une joie que de vous revoir ! »
- « Je ne dirais pas la même chose, vous concernant, Sark. » lui répondit-elle immédiatement.
- « Voyons Sydney avouez que sans moi pour vous contrez à chaque mission vous vous ennuyez !! » dit-il désirant ainsi la pousser à la faute.
- « Au contraire, je mettais dis que j’allais moi-même, prendre un congé bien mériter du monde de l’espionnage. »
Cette remarque, surpris Sark, elle le vit sur son visage, durant un millième de seconde, avant qu’il ne reprenne le contrôle de ses émotions. Mais avant qu’il est le temps de lui répondre quelque chose, elle se précipita vers la vitrine où se trouver le collier. Cependant au même moment où elle posa la main sur le collier, Sark venait de lui attraper le bras, mais avant qu’elle n’est pus riposter, une lumière vive les éblouit et la seconde d’après ils étaient tout les deux inconscient par terre au bord d’une cascade, en plein milieu de la foret.
Quelque part en Italie, en 1796.
Agnès venait de se réveiller, heureuse d’être de retour chez elle, à Rivombrosa. Et surtout depuis sa rencontre avec Andréa, sa vie avait pris un nouveau sens, elle avait finalement rencontré l’amour. Cependant depuis son retour, la femme de son frère, Martino, n’arrêter pas d’organiser des repas ou des réceptions où était présent le capitaine des troupes de l’armée Française, Lorenzo Loya. Vittoria avait vraiment l’air décidé à la voir se marier le plus rapidement possible, bien qu’elle leur avait à de nombreuse reprise fait comprendre qu’elle ne se marierait qu’avec l’homme qu’elle aimait. Heureusement, Martino avait rapidement changé d’avis, et ne la poussait pas vers le capitaine Loya, il lui avait dit de pensée à son bonheur avant tout. Cependant, le fait qu’il soit toujours réfractaire à sa relation avec Andréa Van Necker, la peinait beaucoup, elle savait que la mère de celui-ci avait causé énormément de tort à sa famille par le passé, et surtout à ses parents. Mais Andréa n’avait rien en commun avec sa mère, il était doté d’une gentillesse sans égale, et se battait pour que ne règne pas l’injustice envers ceux qui en avait besoin.
Le bruit de quelqu’un frappant à la porte, la tira de ses pensées. Elle dit à la personne d’entrée, tout en enfilant une robe de chambre après s’être levé. Dorine, sa femme de chambre entra tout en la saluant et alla ouvrir directement les rideaux obstruant le passage des rayons du soleil.
- « Vous avez bien dormie, Comtesse ? » demanda-t-elle.
- « Oui, je te remercie Dorine. » lui répondit Agnès.
- « Monsieur le Comte ne sera pas présent pendant le petit déjeuner de ce matin, il a du s’absenter très tôt et ne sait pas quand il sera de retour. »
- « Bien, dans ce cas je prendrais mon petit déjeuner dans la bibliothèque. Veux-tu m’aider à me préparer ? » lui demanda Agnès, tout en préparant mentalement ce qu’elle allait faire par la suite.
Une fois qu’elle se fut restaurée, Agnès décida d’aller à la cascade, sachant qu’Andréa y ferait surement une apparition. Elle se dépêcha donc de se rendre dans sa chambre afin de se changer pour aller faire une promenade à cheval.
Au même moment prés de la cascade.
Quand Sydney revint à elle, les premiers bruits qui lui vinrent tout d’abord furent le bruit de l’eau. Elle ne put s’empêcher de se dire qu’il n’y en avait pas à coté du château ou elle devait se trouver. Elle ouvra rapidement les yeux quand elle se rappela ce qui s’était passé et eu la stupeur de découvrir qu’elle ne se trouvait plus dans la bibliothèque du château mais prés d’une cascade au bord d’un torrent. Mais ce qui le surpris le plus, et qu’elle découvrit Sark assis à quelque mètre d’elle en train de l’observer. Le premier reflexe qu’elle eut fut de pointer son arme vers lui mais à sa grande stupeur elle ne le trouva pas. Elle tourna donc sa colère vers l’homme se tenant en face d’elle.
- « Que m’avez-vous fait ? »
- « Je n’ai rien fait, agent Bristow, il semblerait plus tôt que ce soit le collier que vous tenez dans votre main qui soit le responsable de notre situation. » lui répondit-il.
Sydney regarda sa main, et vit qu’elle tenait toujours dans celle-ci le collier. Elle le passa autour de son coup et quand son regard se porta sur le visage de Sark, elle y lut une expression bizarre.
- « Quoi ? » demanda-t-elle en le dévisageant.
- « Ce n’est pas prudent ce que vous venez de faire… » commença-t-il.
- « Comme ci j’allais le laisser à votre porter ! Vous étiez la aussi pour le voler ! » dit-elle, ne lui laissant pas le temps de terminer sa phrase.
Cependant elle ne l’enleva pas, bien qu’elle se demanda, si en fin de compte Sark n’avait pas raison de faire attention à ce bijou. Faisant rapidement le bilan de la situation, elle arriva à la conclusion, qu’elle n’avait pas d’autre solution que de faire équipe avec Sark pour se sortir du pétrin dans lequel ils étaient tout les deux. Celui-ci était parvenu à la même conclusion qu’elle, et s’était dit que cela risquer d’être fort intéressant.
Un bruit attira leur attention, ayant le même reflexe, ils allèrent ce cacher derrière des arbustes, et attendant avec impatiente de voir qui cela pouvait être. S’attendant tout les deux à voir apparaître des hommes armées, qu’elle ne fut pas leur surprise, quand ils virent apparaître une jeune femme à cheval, portant des vêtements de style empire. Sydney et Sark échangèrent alors un regard, où l’on pouvait lire la même question : où se trouvaient-ils et surtout à quel époque ?
Ps vous pouvez retrouver mes deux autre fic sur le liens suivant
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